« Dickens, barbe à papa et autres nourritures délectables » présente une série de textes très courts (2-3 pages) qui exposent chacun un petit rien, nourriture ou bien littérature, les deux se conjuguant à merveille.   Philippe Delerm nous entraîne dans cette nouvelle ronde de petits riens vers des nourritures délectables, matérielles – nourriture (« purée vivante », « un luxe suisse » avec le chocolat Milka, « la barbe à papa »), boisson (« vin chaud »), ou bien spirituelles. Il nous invite à la (re)découverte de grands auteurs de la littérature et disserte sur la lecture et l’écriture dans ses rapports à la nourriture : c’est ainsi qu’il rend hommage à Sempé, Hergé ou Dickens ou bien évoque « la lecture et l’anorexie » puis « l’écriture et l’anorexie ».