Ce roman évoque les derniers moments de la principauté d’Orsenna , avant sa destruction par le Farghestan, l’adversaire de toujours (vous ne trouverez pas ces pays sur les cartes).

Publié en 1951, ce roman reçut le prix Goncourt, que Julien Gracq refusa. Il reste cependant un monument de la littérature française du XXè siècle.

Ce jeudi, a sept heures du soir, on va parler, et même disputer, au sujet de Le rivage des Syrtes, chef d’oeuvre de Julien Gracq.

Comme d’habitude, soyez les bienvenus au Club du Livre de Can Baratau.